dimanche 23 février 2014

Vote pour le projet ASABEPI : dernière ligne droite !

A 6 jours de l'échéance, la lutte est très serrée entre le projet de l'ASABEPI, que nous soutenons, et ses concurrents directs. La première place ne tient qu'à un fil.
 
DONC, UN SEUL MOT D'ORDRE : JUSQU'À VENDREDI PROCHAIN 28 FEVRIER A 12H00,  VOTER CHAQUE JOUR ET FAIRE VOTER POUR CE PROJET !

http://partagerproteger.axa.fr/soutien-a-l-association-asabepi.html
 
La forêt de Fontainebleau vous en remercie par avance !

vendredi 14 février 2014

Pour l'éradication des plantes invasives en forêt de Fontainebleau : SOUTENONS CONCRÈTEMENT l'ASABEPI

Nous avons déjà rendu compte des efforts de l'association ASABEPI (Association des Arracheurs Bénévoles des Plantes Invasives) dans sa croisade contre les plantes invasives, notamment le raisin d'Amérique infestant la forêt de Fontainebleau. Rappelons que celui-ci inhibe la flore et la micro faune, qu'il accapare l'eau, que sa décomposition est néfaste pour son entourage mais aussi qu'il peut être dangereux pour les êtres vivants, y compris nous-mêmes.

Jean-Claude et Danielle PERRÉE, les animateurs de l'ASABEPI, redoublent d'efforts pour multiplier les chantiers d'arrachage sur lesquels s'échinent des cohortes de volontaires, dont le nombre va heureusement croissant.

Toutefois, rançon du succès, la demande en outils et fournitures (pelles, cisailles, seaux, sacs) augmente également, c'est pourquoi ils ont lancé une souscription afin de récolter les fonds manquants.

Et comme ils ne restent pas les deux pieds dans le même sabot, ils ont également obtenu le soutien d'AXA qui se propose de bonifier les fonds obtenus dans le cadre d'une opération de mécénat participatif en concurrence avec 5 autres projets.

Vous avez compris que l'ASABEPI doit devancer ses (valeureux) concurrents afin de pouvoir bénéficier de cette manne et vous pouvez l'aider à y parvenir.

Comment ?

Trois actions qui ne vous demanderont que quelques clics

1) EN PARTICIPANT AU FINANCEMENT DES ACTIONS
Chacun donne ce qu'il veut à partir de … 1 €
Il faut rassembler 1200 €
A ce jour, 534 € ont été récoltés et il reste 49 jours (échéance : 3 avril 2014)

2) EN VOTANT POUR LE PROJET
Chaque clic compte et vous devez voter chaque jour
Si le projet de l'ASABEPI arrive en tête, AXA rajoute 720 €
S'il arrive deuxième, AXA rajoute 480 €
S'il arrive troisième, AXA rajoute 360 €
Tout ceci à une condition : que les 1200 € soient préalablement récoltés

3) EN DIFFUSANT LARGEMENT CE MESSAGE AUTOUR DE VOUS !


Les ondes de Robert (suite)


Nous avons déjà dit tout le bien que nous pensons de ce film de Xavier JOURDIN et Mélanie ANTOINE (voir l'article du 19 janvier 2014).

Si vous voulez le voir ou le revoir, rendez-vous sur TV8 Mont Blanc (http://playtv.fr/television/tv8-mont-blanc/) aux jours et heures ci-dessous

Dimanche 16 février à 16 h
Lundi 17 février à 13h
Mercredi 19 février à 15h30
Samedi 22 février à 16h

Et maintenant, cliquez et appréciez !

Soirée-climat à Milly-la-Forêt : on recherche toujours les canards

Photo : Christine ARFEUILLERES

Mardi février, la salle des fêtes de Milly-la-Forêt accueillait le spectacle « À la recherche des canards perdus » de Frédéric FERRER ainsi que le climatologue Alain MAZAUD, du LSCE, pour une soirée dédiée au climat, à l'initiative des associations GAIA, SoliCités et UNIS VERS UN MILLY VERT.

Les 90 personnes présentes n'ont probablement pas regretté le déplacement. C'est en tous cas la conclusion que l'on peut tirer de leurs réactions pendant et après la représentation.

Pour être franc, nous étions curieux de découvrir comment un sujet aussi grave que le changement climatique pouvait être traité sur un mode a priori léger. Mais dès les premiers instants du spectacle, notre curiosité a laissé la place à un intérêt qui n'a cessé de croître, jusqu'à une surprenante conclusion. Qui aurait pu croire que le sort de quelques dizaines de canards en plastique jaune lâchés dans la banquise nous tienne en haleine à ce point ?

Frédéric FERRER nous apporte la preuve que l'on peut concilier humour et information rigoureuse. Car sous cette forme humoristique, des informations essentielles et incontestables nous sont passées, et ce ne sont pas forcément les mêmes que celles dont nous abreuvent les médias grand public.

Oui, le changement climatique est une réalité dont il faut mesurer l'ampleur et l'incidence sur notre vie future, et surtout celle de nos enfants.
Oui, ce changement est intégralement dû à l'activité humaine, principalement depuis la première révolution industrielle
Oui, notre salut viendra d'une prise de conscience qui nous aidera à réfléchir sur notre mode de vie et à trouver les moyens de le modifier afin d'en réduire le plus possible les impacts sur notre environnement.

Une réflexion nous vient naturellement : et si toutes nos têtes pensantes et décideurs de tout poil s'inspiraient de ce spectacle dans la forme et dans le fond ? Car le fond, chacun le sait est incontestable, mais l'humour ne serait-il pas l'arme ultime pour convaincre les irréductibles ou les hésitants ?

Le débat qui a suivi nous apporté la preuve de la difficulté de traiter le sujet de façon classique dans un minimum de temps. Il s'agissait d'une entreprise risquée et nous le reconnaissons en tant qu'organisateurs. Si Alain MAZAUD a pu répondre avec la précision du climatologue qu'il est à toutes les questions techniques, les attentes des militants présents sont restées insatisfaites.

A plusieurs reprises, au cours de la soirée, les actions locales ont été évoquées en tant qu'outils de déclenchement pour la prise de conscience évoquée plus haut, avec les actions qui en découlent. Nous (GAIA et UNIS VERS UN MILLY VERT) allons travailler dans ce sens et proposerons probablement deux autres soirées spécifiquement dédiées à la nécessaire transition énergétique que nous devons entreprendre.

Merci à toutes celles et tous ceux qui ont contribué à l'organisation de cette soirée, soit sur le plan matériel, soit en diffusant l'information autour d'eux et bien sûr, à toutes celles et ceux qui se sont déplacés malgré une météo peu favorable. Nous ne citons personne, mais chacun se reconnaîtra.