Parmi
les luttes du pot de terre contre le pot de fer engagées par
les opposants à l'exploitation des gaz et pétrole de
schiste, il en est une qui pourrait se révéler
décisive. Elle est menée par l'association « Mesure
Conservatoire » de Danièle FAVARI qui porte le
combat sur le plan juridique.
Beaucoup
de compétence et de travail pour défendre une cause
juste.
Afin
de pouvoir continuer son action, cette association a besoin d'aide.
Les frais de dossier, d'envoi, et de procédure ne peuvent
avoir d'autres soutiens que les citoyens sympathisants eux-mêmes.
La
cotisation de base est de 10€ (dont 66% déductibles). Chèque
à l'ordre de l'association à adresser à Danièle
FAVARI – Le Bourg – 12200 Saint Salvadou
Pour
tout savoir sur l'association : découvrez les statuts, le compte-rendu de l'Assemblée Constitutive et le récépissé préfectoral
Pour
avoir un aperçu du travail réalisé : cliquez ici
Et
pour finir de vous convaincre, vous pourrez lire ci-dessous ce récent
courrier qui en dit très long, adressé par Danièle
FAVARI aux collectifs nationaux
Bonjour
à chacun d'entre vous (457 dont tous les Collectifs
Nationaux),
Vous avez eu maille à partir à mes "coups de blues", mes "coups de gueule" : je me demande pourquoi ce Mouvement, pourquoi ce combat auquel je crois, TOUT CELA POUR QUEL RESULTAT !! Nicole BRICQ l'a dit fort justement " les intérêts financiers ont pris le dessus". Le "dessus" d'un Mouvement qui a pourtant fait reculer le Gouvernement.
1 - je l'ai déjà dit ; 26 d'entre vous m'ont donné pouvoir pour engager une "REQUETE" dans la procédure du Groupe TOTAL contre le Ministère de l'écologie (une procédure qui prendra des années, au minimum deux ans). Sur les 26 personnes qui m'ont donné pouvoir, 5 seulement ont cotisé à mon Association, les autres me laissent assumer la totalité des frais engagés (LRAR, copies (le dossier chaque fois en 4 ex.), fournitures, etc...). La prochaine fois, c'est décidé, je vous joins COPIE DE LA REQUETE et les noms de ceux qui ont cotisé, vous serez ainsi à même d'apprécier. Il est consternant de constater que des militants se dédouanent d'une procédure à laquelle ils ont - eux mêmes - souscrit.
2 - Je ne continuerai donc pas à assumer SEULE tous les RISQUES d'un MOUVEMENT qui se prétend CITOYEN. Et il va de soi que - si ces conditions perdurent - je ne me pourvoirais pas dans la procédure intentée par SCHUEPBACH contre le Ministère de l'Ecologie contre l'abrogation de ses permis de NANT et VILLENEUVE DE BERG ;
3 - Si personne ne bouge, ni me rejoint, ce n'est pas COMPLIQUE : la lettre - que vous trouverez ci-jointe - et que j'ai entièrement travaillé, rédigé en vue de l'obtention d'une NOUVELLE DIRECTIVE EUROPEENNE restera dans mes TIROIRS avec les quelques 16.000 + SIGNATURES de "l'APPEL A CONSENSUS EUROPEEN" ;
4 - Vous voudrez donc bien - comme le "Collectif Plaines du Languedoc, Collectif Orb Jaur" qui s'est empressé de se faire désinscrire pour ne pas avoir à cotiser fût ce comme "membre actif" à raison de 10 euros - me faire connaître votre décision : c'est le moment !
5 - Enfin, et non des moindres, arrêtez de vous faire abuser par des "informations erronées" CAR le Code MINIER correspond à une représentation bien précise de l'"intérêt général" qui est l'un des fondements de la limitation des libertés publiques. L’intérêt général sert de référence pour justifier l’action administrative et l’atteinte aux libertés individuelles. C’est l’intérêt général qui justifie également toutes les atteintes portées au droit de propriété. "Sur le plan juridique, les sites classés par l'UNESCO relèvent des mêmes règles de droit que les sites classés. A ce titre, le seul fait d'une reconnaissance par l'UNESCO ne saurait exonérer les propriétaires du sol de leurs obligations vis-à-vis du Code minier" (Page 59 du Rapport du CGIET et du CGEDD)" DONT ACTE !?
Merci, danièle favari (veille juridique des GDS)
Vous avez eu maille à partir à mes "coups de blues", mes "coups de gueule" : je me demande pourquoi ce Mouvement, pourquoi ce combat auquel je crois, TOUT CELA POUR QUEL RESULTAT !! Nicole BRICQ l'a dit fort justement " les intérêts financiers ont pris le dessus". Le "dessus" d'un Mouvement qui a pourtant fait reculer le Gouvernement.
1 - je l'ai déjà dit ; 26 d'entre vous m'ont donné pouvoir pour engager une "REQUETE" dans la procédure du Groupe TOTAL contre le Ministère de l'écologie (une procédure qui prendra des années, au minimum deux ans). Sur les 26 personnes qui m'ont donné pouvoir, 5 seulement ont cotisé à mon Association, les autres me laissent assumer la totalité des frais engagés (LRAR, copies (le dossier chaque fois en 4 ex.), fournitures, etc...). La prochaine fois, c'est décidé, je vous joins COPIE DE LA REQUETE et les noms de ceux qui ont cotisé, vous serez ainsi à même d'apprécier. Il est consternant de constater que des militants se dédouanent d'une procédure à laquelle ils ont - eux mêmes - souscrit.
2 - Je ne continuerai donc pas à assumer SEULE tous les RISQUES d'un MOUVEMENT qui se prétend CITOYEN. Et il va de soi que - si ces conditions perdurent - je ne me pourvoirais pas dans la procédure intentée par SCHUEPBACH contre le Ministère de l'Ecologie contre l'abrogation de ses permis de NANT et VILLENEUVE DE BERG ;
3 - Si personne ne bouge, ni me rejoint, ce n'est pas COMPLIQUE : la lettre - que vous trouverez ci-jointe - et que j'ai entièrement travaillé, rédigé en vue de l'obtention d'une NOUVELLE DIRECTIVE EUROPEENNE restera dans mes TIROIRS avec les quelques 16.000 + SIGNATURES de "l'APPEL A CONSENSUS EUROPEEN" ;
4 - Vous voudrez donc bien - comme le "Collectif Plaines du Languedoc, Collectif Orb Jaur" qui s'est empressé de se faire désinscrire pour ne pas avoir à cotiser fût ce comme "membre actif" à raison de 10 euros - me faire connaître votre décision : c'est le moment !
5 - Enfin, et non des moindres, arrêtez de vous faire abuser par des "informations erronées" CAR le Code MINIER correspond à une représentation bien précise de l'"intérêt général" qui est l'un des fondements de la limitation des libertés publiques. L’intérêt général sert de référence pour justifier l’action administrative et l’atteinte aux libertés individuelles. C’est l’intérêt général qui justifie également toutes les atteintes portées au droit de propriété. "Sur le plan juridique, les sites classés par l'UNESCO relèvent des mêmes règles de droit que les sites classés. A ce titre, le seul fait d'une reconnaissance par l'UNESCO ne saurait exonérer les propriétaires du sol de leurs obligations vis-à-vis du Code minier" (Page 59 du Rapport du CGIET et du CGEDD)" DONT ACTE !?
Merci, danièle favari (veille juridique des GDS)