Maintenant,
chacun d'entre nous a le devoir de poursuivre le débat que les
événements ont provoqué afin que le soufflet ne retombe pas.
Encore faut-il que ce débat soit le plus élargi possible. C'est
pourquoi il est important de relayer toute analyse allant au fond des
choses, et de toutes les choses,
y compris et surtout si
cela dérange.
Prenez
le temps de lire cet article, paru dans Bastamag le 13 janvier dont
voici deux extraits, à notre sens, significatifs :
« …
la démocratie c'est la possibilité de la critique, du débat,
de l'engueulade, du désaccord »
« Personne,
dans les médias, ne dit cette honte. Personne ne semble vouloir en
assumer la responsabilité. Celle d’un État qui laisse des
imbéciles et des psychotiques croupir en prison et devenir le jouet
des pervers manipulateurs, celle d’une école qu’on prive de
moyens et de soutien, celle d’une politique de la ville qui parque
les esclaves (sans papiers, sans carte d’électeur, sans nom, sans
dents) dans des cloaques de banlieue. Celle d’une classe politique
qui n’a pas compris que la vertu ne s’enseigne que par
l’exemple. »
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